De petits enfants innocents qui jouent à longueur de journée à côté d’un tel danger ne sachant pas qu’ils peuvent frôler le pire sans qu’ils n’est l’occasion de fuir ce danger permanent que représente ce fil électrique qui appelle tous les jours la mort au téléphone et tombe pour l’instant sur le répondeur dans les villages de Keibly et de Zéaglo.
Les fils et les poteaux électriques en bois sont désuètes et représentent aujourd’hui dans plusieurs villes, villages et quartiers un danger permanent, plusieurs ont vieillir, d’autres sont complètement rongés par les termites dans d’autres cas les poteaux sont cassés et servent simplement de séchoir à linge.
On a longtemps décriés les pannes et les coupures d’électricité mais personne n’a vu que le mal pouvait venir de la mauvaise qualité des supports de transport de l’énergie électrique. Quand on a l’habitude de dire que la honte ne nous fait plus aucun effet beaucoup pensent qu’on fait dans le populisme, voici les faits qui sont têtus.
Le danger est permanent dans certaines villes, quartiers et villages du pays et la mort est imminente.
Dans le département de Blolequin, les populations ont appris à vivre avec la honte, et dans la vallée de l’ombre du danger, elles courtois au quotidien l’électrocution.
Les poteaux électriques font partis de l’une des plus grosses arnaque notamment ceux qui sont en bois au lieu du béton qui nous précipitent tous les jours aux portes de l’enfer.
Pencher, courbés, plusieurs se sont mariés, d’autres se sont isolés pour mieux nous montrer leurs états de dégradation et dans d’autres cas la taille a diminuer.
Pour l’instant tout le monde s’en fout, on attend l’hécatombe pour réagir, en regardant ce poteau dans le village de keibly(Blolequin) on a compris que les gens n’aiment pas les gens.
Les populations ont décidées d’accepter leur destin de jours comme la nuit et se ruent vers la prière en espérant que la nature ne rêve pas mal d’elles une nuit et peut être que nous assisterons à une série de veillée sans payer avec un tollé d’indignation sans solution.
Les poteaux en bois et les fils électriques dans plusieurs villes, quartiers et villages de l’intérieur du pays font comme s’ils étaient piégés à l’image des voitures piégés des djihadistes.
La compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) voit ses poteaux tombeaux sans se soucier de sa qualité suicidaire.
silvere Bossiei